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Directives de santé et de sûreté pour la prise d'Iboga

© 2025 HIMA. Tous droits réservés.Ce document est protégé par le droit de la propriété intellectuelle. Il constitue la propriété exclusive de HIMA.Toute reproduction, diffusion, adaptation ou utilisation — partielle ou totale — à des fins commerciales ou non commerciales, sans autorisation écrite préalable de HIMA, est strictement interdite.Toute utilisation non autorisée pourra donner lieu à des poursuites judiciaires.

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📑 Table des matières

- 1.1 Acceptation des présentes directives
- 1.2 Clarifications du cadre d’accompagnement de HIMA

📄 Exemple de certificat médical

  - ⚠️3.1 Pathologies cardiaques
  - ⚠️3.2 Pathologies hépatiques
  - ⚠️3.3 Troubles psychiatriques et neurologiques
  - ⚠️3.4 Troubles endocriniens et métaboliques

  - 3.5 Grossesse et allaitement
  - ⚠️3.6 Traitements médicamenteux lourds ou incompatibles
  - 3.7 Maladies auto-immunes et affections chroniques graves
  - 3.8 Maladies infectieuses transmissibles ou chroniques graves
  - 3.9 Fragilités respiratoires et cardiovasculaires non pathologiques
  - 3.10 États de faiblesse générale

  - 4.1 Troubles métaboliques et déséquilibres hormonaux
  - 4.2 Faiblesses immunitaires modérées, infections anciennes

  - ⚠️5.1 Médicaments nécessitant un arrêt strict plusieurs semaines avant la retraite
  - 5.2 Médicaments non strictement interdits, mais fortement déconseillés
  - 5.3 Médicaments récemment arrêtés : précautions supplémentaires
  - 5.4 Arrêt de traitement : rappels importants et responsabilités

  - 6.1 Drogues dures et stimulants synthétiques
  - 6.2 Cannabis, champignons et substances dites naturelles
    - 6.2.1 🌿 Précisions énergétiques sur l'esprit du cannabis

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HIMA – Retraites chamaniques de guérison

 

Le présent document a pour vocation de fournir des conseils de sécurité, de santé et de bon sens dans le cadre de nos retraites et programmes d’accompagnement chamanique.

Il ne constitue en aucun cas un avis médical au sens légal du terme. HIMA n’est pas un centre médical, ne délivre aucun traitement médical, et ne remplace en aucune manière un suivi par un professionnel de santé qualifié.

Nos retraites et accompagnements s’inscrivent dans un cadre chamanique rigoureux, fondé sur des protocoles précis, sécurisés et respectueux des processus de chaque individu. L’ensemble de notre travail repose sur une profonde écoute, une préparation sérieuse, et un accompagnement attentif tout au long de l’expérience.

Chaque participant demeure pleinement responsable de sa santé physique, mentale et émotionnelle, et s’engage à consulter un professionnel de santé en cas de doute.

  1. Introduction générale

 

Bienvenue. Ce document a été conçu pour assurer la sécurité, la clarté et la bonne préparation de chaque participant souhaitant entreprendre une retraite chamanique à l’Iboga au sein de HIMA.

L’Iboga est une plante médicinale extrêmement puissante. Son action profonde sur les plans physiques, émotionnels, mentaux et énergétiques nécessite une préparation sérieuse, notamment sur le plan de la santé.
Nos retraites ne se déroulent pas dans un cadre médical ou clinique, mais dans un cadre chamanique et non médical, en collaboration avec l’esprit de la plante et dans une relation directe avec sa conscience.
Il est donc essentiel que chaque participant remplisse l’ensemble des conditions de santé et de sécurité requises, afin de garantir un environnement sain, protégé et cohérent sur les plans logistique, énergétique et humain.

1.1 Acceptation des présentes directives

En confirmant votre inscription à une retraite organisée par HIMA, vous déclarez avoir lu attentivement et compris l’ensemble des Directives de santé et de sûreté pour la prise d’Iboga.
Vous reconnaissez que votre état de santé physique et psychique est compatible avec les exigences d’une cérémonie iboga Full Flood/Stream dans un cadre chamanique, et que vous participez en pleine responsabilité, en conscience, et à vos propres risques.

Vous vous engagez notamment à :

  • Divulguer, en toute transparence, toute condition médicale connue ou tout traitement en cours, via le questionnaire de santé confidentiel prévu lors de l’inscription.

  • Consulter un professionnel de santé qualifié en cas de doute, et à fournir un certificat médical attestant de votre aptitude à participer à une retraite avec l’Iboga, certificat obligatoire pour chaque participant.

  • Suivre les recommandations de préparation transmises par l’équipe HIMA avant la retraite — notamment en ce qui concerne les délais de sevrage, les arrêts de traitements ou de substances, et les protocoles de sûreté collective, dans un souci de sécurité pour vous-même et pour l’ensemble du groupe.

  • Maintenir, après la retraite, une période de sevrage minimale pour soutenir l’intégration des effets de l’Iboga et éviter toute interférence physiologique ou énergétique susceptible d’en entraver les bienfaits.

➡️ HIMA ne pourra être tenu responsable des conséquences liées à une information volontairement omise, à un refus de se conformer aux présentes directives, ou à toute décision de modifier, interrompre ou arrêter un traitement médical sans l’accord préalable d’un médecin. Toute modification de traitement doit impérativement être encadrée et validée par un professionnel de santé allopathique.

Chez HIMA, nous nous engageons à offrir le cadre le plus sûr, attentif et bienveillant possible pour accueillir l’intensité d’une cérémonie iboga, et soutenir chaque participant dans les meilleures conditions. Nous mettons tout en œuvre pour garantir un espace le plus propice que possible à une transformation profonde, tant sur les plans physiques que psychique, émotionnel, énergétique et spirituel.
En retour, nous demandons à chaque personne de faire preuve d’honnêteté, de responsabilité, et de respect, afin de préserver la sécurité du groupe et l’intégrité du travail engagé avec la plante.

1.2 Clarifications du cadre d’accompagnement de HIMA

Les retraites organisées par HIMA reposent sur un cadre chamanique rigoureux, fondé sur des protocoles précis, sécurisés, sur l’écoute des participants et sur la relation directe avec l’esprit de la plante.
Elles ne s’inscrivent ni dans une approche médicale, ni dans une démarche thérapeutique conventionnelle, et ne sauraient être interprétées comme telles.

Nos cérémonies iboga ne constituent ni des traitements médicaux, ni des protocoles cliniques, ni des alternatives à un suivi psychiatrique ou psychothérapeutique.
Elles ne peuvent en aucun cas se substituer à un traitement médical en cours, quel qu’il soit. Il en va de même pour toute médication, accompagnement psychologique ou suivi psychiatrique, qui relèvent exclusivement d’un professionnel de santé allopathique.

L’équipe de HIMA n’est pas composée de médecins, ne délivre aucun traitement, et n’effectue aucun diagnostic médical, psychologique ou psychiatrique.

Chaque participant demeure pleinement responsable de ses choix thérapeutiques, de son état de santé, et de sa propre intégrité physique, mentale, émotionnelle et énergétique.
Toute décision d’interrompre ou de modifier un traitement médical ou psychiatrique doit impérativement être prise avec l’accord explicite de son médecin.

                     

📝 Questionnaire de santé

Lors de l’inscription, vous serez invité à remplir un questionnaire de santé confidentiel, intégré au formulaire en ligne.
Ce questionnaire permet à notre équipe :

  • d’évaluer votre compatibilité avec le processus, nos conditions et notre cadre

  • d’identifier d’éventuelles contre-indications absolues,

  • et de déterminer si une retraite Full Flood ou Stream est adaptée à votre situation de santé.

➡️ Nous vous demandons de répondre en toute honnêteté et transparence à ce questionnaire.
Toute dissimulation volontaire ou omission d’information essentielle (médicale, psychiatrique ou médicamenteuse) peut mettre votre vie en danger et compromettre profondément le déroulement de la retraite — pour vous comme pour le groupe.

HIMA ne pourra être tenu responsable des conséquences liées à une déclaration incomplète ou falsifiée, et aucun remboursement ne pourra être accordé en cas d’annulation de votre participation (pour cause de refus d’admission) pour ces raisons.

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2. Le certificat médical : exigence obligatoire

2. Le certificat médical : Une recommandation de santé et de sécurité

📄 Recommandation à fournir un certificat médical

Afin de garantir la sécurité et le bien-être de tous les participants, nous recommandons d’obtenir un certificat médical attestant de votre bon état de santé général avant de participer à la retraite.

Bien que ce ne soit pas une obligation, nous faisons appel à votre discernement et à votre sens des responsabilités pour évaluer honnêtement votre condition physique et mentale avant de vivre une cérémonie Iboga Full-Flood.

Si vous suivez un traitement médical ou si vous avez des préoccupations de santé, merci de consulter nos Directives de santé et de sécurité et d’en informer l’équipe HIMA.

                     

🎯 Contenu attendu du certificat

Le certificat médical demandé a pour objectif de confirmer l’absence de contre-indications majeures connues à la participation à une retraite chamanique à l’Iboga dans un cadre non médicalisé.

Le médecin devra attester que l’état de santé du participant comprend les éléments suivants :

  • Une fonction cardiaque stable, sans anomalie connue ni signe d’insuffisance cardiaque
    (un électrocardiogramme est recommandé en cas d’antécédents ou de doute)

  • L’absence de troubles de l’hypertension artérielle

  • L’absence de pathologie hépatique active (ex. : hépatite, cirrhose, insuffisance hépatique)

  • Aucun antécédent psychiatrique sévère diagnostiqué (psychose, bipolarité, dépression sévère avec risque suicidaire, etc.)

 

Le certificat doit être :

  • Daté et signé

  • Établi moins de trois mois avant le début de la retraite

  • Rédigé par un médecin en exercice, habilité à évaluer l’état général de santé de son patient

                     

⚠️ En cas de non-conformité ou de falsification

Nous rappelons que HIMA ne pourra en aucun cas être tenu responsable en cas de certificat falsifié ou ne répondant pas aux recommandations mentionnées dans ce document, ni des conséquences liées à un document incomplet, imprécis, ou délivré sans rigueur.

                     

📄 Exemple de certificat médical (à titre indicatif) :
CERTIFICAT MÉDICAL

 

Je soussigné(e) Dr [Nom Prénom], médecin généraliste / spécialiste*, certifie avoir examiné ce jour :

Monsieur / Madame [Nom, Prénom], né(e) le [JJ/MM/AAAA], et atteste que son état de santé général ne présente à ce jour :

  • Aucun trouble cardiovasculaire connu, et une fonction cardiaque stable
    (un électrocardiogramme a été effectué / n’a pas été jugé nécessaire)

  • Aucun antécédent d’hypertension artérielle ou trouble de la tension en cours

  • Aucune pathologie hépatique active connue

  • Aucun trouble psychiatrique sévère diagnostiqué​

Ce certificat est établi sur la base de l’examen clinique et des éléments médicaux disponibles à ce jour.

Fait à [Ville], le [Date]
Signature et cachet du médecin

🔹 Ce modèle de certificat est proposé à titre indicatif afin de faciliter la démarche du participant auprès de son médecin. Il ne constitue pas une exigence de formulation, et chaque médecin est libre de l’adapter selon son éthique et son jugement professionnel.

                     

⚠️ En cas de contre-indication médicale absolue

La présence d’une ou plusieurs contre-indications listées dans ce document entraîne l’impossibilité de participer à une retraite Full Flood et Stream HIMA.
Cette décision est non négociable, et vise à garantir la sécurité de chacun.

  • En cas de doute ou de situation particulière, nous vous invitons à réserver un appel via notre site internet, afin d’échanger avec un membre de notre équipe.

  • Si, malgré une contre-indication, vous décidez de vous inscrire sans l’accord formel de votre médecin, votre participation pourra être annulée à tout moment, y compris à votre arrivée sur place, sans possibilité de remboursement.

📄 Exemple de certificat médical

3. Contre-indications médicales absolues

La participation aux retraites Full Flood et Stream à l’Iboga requiert un état de santé pleinement compatible avec le cadre, les protocoles et les conditions spécifiques proposés par HIMA.
En raison des effets que l’Iboga peut produire sur les plans physiologique, neurologique et émotionnel, il est indispensable de vérifier, avant toute retraite, que votre état de santé est en adéquation avec nos conditions. Cette vérification doit être faite en lien avec votre médecin, et relève entièrement de votre responsabilité.

Certaines conditions de santé rendent la prise d’Iboga à dose cérémonielle formellement inappropriée et potentiellement dangereuse. Ces cas sont définis comme des contre-indications absolues à la participation aux retraites Full Flood et Stream chez HIMA.

Ces contre-indications sont repérées et filtrées à plusieurs niveaux du processus d’inscription :

  • D’abord par le biais du questionnaire de santé confidentiel que chaque participant remplit en ligne

  • Puis formellement exclues grâce à la présentation du certificat médical recommandé, remis à l’arrivée sur le lieu de retraite

  • et enfin rappelées dans une décharge de santé spécifique, lue et signée en présence d’un membre de l’équipe HIMA, attestant de la pleine compréhension par le participant des contre-indications absolues et des risques encourus en cas de fausse déclaration.

👉 Ce triple dispositif vise à prévenir toute situation à risque, à garantir l’intégrité du cadre proposé et à s’assurer que toutes les conditions de santé nécessaires aux cérémonies iboga Full Flood et Stream soient pleinement réunies avant le début de l’accompagnement.

Dans certains cas spécifiques, et uniquement après échange avec notre équipe, un accompagnement par microdosing d’Iboga peut être envisagé comme alternative plus douce et progressive.

                     

3.1 Pathologies cardiaques

La santé cardiovasculaire est un critère essentiel pour pouvoir participer à une cérémonie iboga Full Flood/Stream.
L’Iboga agit directement sur le système nerveux autonome, et peut avoir un impact sur la fréquence cardiaque, la pression artérielle et la conduction électrique du cœur.

Toute fragilité, pathologie ou anomalie cardiovasculaire, diagnostiquée ou suspectée, constitue une contre-indication absolue à la participation à une retraite Full Flood/Stream.

⛔️Sont notamment concernées :

  • Antécédents d’infarctus du myocarde, d’angine de poitrine, de pontage coronarien ou de pose de stents

  • Troubles de l’hypertension artérielle, même sous traitement

  • Antécédents d’arrêt cardiaque ou de mort subite récupérée

  • Palpitations fréquentes, douleurs thoraciques inexpliquées, essoufflement à l’effort

  • Arythmie cardiaque, fibrillation auriculaire ou ventriculaire, tachycardie ventriculaire

  • Bloc auriculo-ventriculaire (trouble de la conduction électrique du cœur)

  • Insuffisance cardiaque (même modérée), cœur dilaté (cardiomyopathie)

  • Souffle au cœur (murmure cardiaque systolique ou diastolique, même léger)

  • Syndrome du QT long (congénital ou induit par médicaments)

  • Anomalie de l’électrocardiogramme (ECG) non expliquée

  • Fréquence cardiaque au repos anormale : supérieure à 120 battements/minute ou inférieure à 50

  • Malformations cardiaques congénitales, valves cardiaques artificielles

  • Cardiopathie hypertrophique, cardiomyopathie dilatée ou toute maladie du muscle cardiaque

  • TOUTE maladie coronarienne 

  • Port d’un pacemaker ou d’un défibrillateur implanté (DAI)

  • Antécédents de transplantation cardiaque ou de chirurgie cardiaque lourde

  • Troubles de la tension non stabilisés ou avec épisodes récents d’hypo/hypertension

  • Antécédents familiaux de mort subite, hypertrophie cardiaque, ou syndromes électrophysiologiques héréditaires

 

⚠️ Toute personne présentant une pathologie cardiaque avérée, des antécédents cardiovasculaires significatifs, ou des anomalies cardiaques non élucidées, ne pourra pas participer à une retraite Full Flood/Stream.


L’Iboga sollicite directement le système nerveux autonome et peut provoquer des variations transitoires de la pression artérielle ou de la fréquence cardiaque, incompatibles avec toute fragilité cardiaque.

👉 En cas de doute, de terrain familial à risque, ou de diagnostic incertain, un électrocardiogramme (ECG) récent est indispensable. Un avis spécialisé auprès d’un cardiologue pourra être demandé pour confirmer l’absence de contre-indication formelle.

👉 Dans certaines situations spécifiques, si l’anomalie est jugée bénigne, non pathologique, et uniquement après validation médicale, un accompagnement par microdosing pourra être envisagé en concertation avec notre équipe.

 

                     

 

3.2 Pathologies hépatiques

Le foie est l’un des organes les plus sollicités pendant une cérémonie iboga. Il est responsable de la détoxification et de la métabolisation des alcaloïdes présents dans la racine, notamment l’ibogaïne et ses dérivés. Toute atteinte de la fonction hépatique peut altérer gravement le traitement des substances actives et exposer à des risques de surcharge toxique, d’effets secondaires amplifiés, voire de complications sévères.

Pour ces raisons, les pathologies hépatiques avérées ou suspectées constituent des contre-indications absolues à la participation à une retraite Full Flood.

⛔️Sont notamment concernées :

  • Insuffisance hépatique aiguë ou chronique, quelle qu’en soit l’origine

  • Hépatites virales actives (hépatite A, B ou C non traitée ou non stabilisée)

  • Cirrhose du foie, avec ou sans signes de décompensation

  • Fibrose hépatique avancée

  • Stéatose hépatique sévère (foie gras évolutif ou associé à une inflammation chronique)

  • Syndromes de cholestase (obstruction des voies biliaires, lithiase biliaire)

  • Antécédents de décompensation hépatique, encéphalopathie ou ascite

  • Antécédents récents d’ictère, ou anomalies persistantes des taux de bilirubine

  • Anomalie majeure des transaminases (ASAT, ALAT) non explorée ou instable

  • Maladie métabolique rare affectant le foie (ex. : hémochromatose, maladie de Wilson)

  • Tests hépatiques récents anormaux sans exploration ou sans diagnostic précis

  • Tumeur hépatique (bénigne ou maligne) en évolution ou sous traitement

  • Présence de douleurs dans l’hypochondre droit associées à une fatigue chronique inexpliquée

  • Traitement médicamenteux hépatotoxique récent ou en cours (ex. : chimiothérapie, antifongiques, antituberculeux)

 

⚠️ Une fonction hépatique normale est indispensable pour garantir un métabolisme sain de l’Iboga et limiter les risques de surcharge toxique ou d’effets indésirables persistants.

⚠️ Toute atteinte hépatique non stabilisée, toute anomalie des tests hépatiques (bilan sanguin) non explorée ou toute pathologie chronique du foie non suivie constitue un motif de non-admission à nos retraites Iboga chez HIMA.

👉 Le certificat médical exigé pour la retraite doit attester de l’absence de pathologie hépatique active, ou de tout antécédent significatif non résolu.

👉 Un bilan hépatique récent (ASAT, ALAT, transaminases, bilirubine, gamma GT) est vivement recommandé si vous avez un antécédent médical en lien avec le foie, une consommation passée d’alcool ou de traitements hépato-toxiques.
👉 Dans certaines situations bénignes et stabilisées, un accompagnement par microdosing peut être envisagé, sur avis médical et après validation par l’équipe HIMA.

                     

 

3.3 Troubles psychiatriques et neurologiques

L’Iboga est une plante visionnaire puissante, qui agit en profondeur sur le système nerveux central et périphérique, l’activité cérébrale, le subconscient et les mécanismes de mémoire.
Son effet est à la fois introspectif, psychoactif, neuroplastique et émotionnellement intense. À ce titre, toute personne présentant une pathologie psychiatrique sévère ou un trouble neurologique actif encourt un risque élevé de décompensation ou de réaction imprévisible lors d’une cérémonie iboga Full Flood ou Stream.

Par conséquent, les troubles suivants constituent des contre-indications médicales absolues à toute participation à une retraite Iboga chez HIMA.

⛔️ Sont notamment concernées:

  • Psychose avérée ou passée (schizophrénie, trouble schizo-affectif, trouble délirant, épisode psychotique aigu)

  • Trouble bipolaire de type I ou II, avec ou sans traitement

  • Trouble dépressif majeur / crise suicidaire aigüe

  • Trouble borderline de la personnalité (ou autre trouble de la régulation émotionnelle sévère)

  • Antécédents d’hospitalisation psychiatrique pour épisode aigu

  • Anxiété sévère avec trouble panique non stabilisé

  • Etat de stress post-traumatique (ESPT/PTSD) aigu ou récurrent non intégré

  • Trouble obsessionnel compulsif (TOC) sévère non traité

  • Addiction sévère avec antécédents psychiatriques associés

  • Traitement actuel ou récent par antipsychotiques (neuroleptiques typiques ou atypiques)

⛔️ Troubles neurologiques contre-indiquant toute prise d’Iboga :

  • Epilepsie, même sous traitement et stabilisée

  • Antécédents de crises convulsives inexpliquées

  • Encéphalopathie, lésions cérébrales connues ou séquelles neurologiques post-traumatiques

  • Maladies neurodégénératives (ex. : sclérose en plaques, Parkinson, Alzheimer)

  • Tumeurs cérébrales, malformations vasculaires intracrâniennes

  • Antécédents d’accident vasculaire cérébral (AVC), ischémie cérébrale ou AIT

  • Syndromes neurologiques rares (ex. : Huntington, ataxies, neuropathies périphériques graves)

⚠️ L’Iboga peut générer des visions intenses, des états de conscience modifiés prolongés, des reviviscences émotionnelles, une réouverture d’expériences traumatiques et une stimulation très marquée du système nerveux.


Ces effets peuvent aggraver un terrain psychique vulnérable, catalyser des troubles dissociatifs, ou favoriser une décompensation aiguë chez les personnes présentant un diagnostic psychiatrique connu ou non stabilisé.

👉 Toute personne suivie en psychiatrie, ou ayant un historique de trouble mental, doit obligatoirement le mentionner dans le questionnaire de santé et obtenir un avis médical clair et écrit, incluant une évaluation du risque.

👉 Toute personne ayant présenté une crise convulsive, même isolée, doit être examinée par un neurologue avant toute participation.

👉 Dans certains cas modérés, stabilisés et bien encadrés, un accompagnement par microdosing peut être envisagé, en concertation avec l’équipe HIMA et uniquement sur présentation d’un certificat médical favorable délivré par un professionnel de santé compétent.

                     

3.4 Troubles endocriniens et métaboliques

Le système endocrinien régule de nombreuses fonctions vitales : rythme cardiaque, tension artérielle, température corporelle, glycémie, métabolisme basal, gestion du stress, etc.
Une dérégulation hormonale ou un trouble métabolique peut compromettre la stabilité du corps pendant les phases intenses de la cérémonie Iboga, et exposer à des risques accrus, notamment en cas de jeûne partiel, de purge, ou de veille prolongée.

 

Certains troubles endocriniens ou métaboliques, non stabilisés ou mal compensés, constituent ainsi des contre-indications absolues à la participation à une retraite Full Flood ou Stream.

⛔️ Troubles endocriniens et métaboliques contre-indiquant la prise d’Iboga :

  • Diabète de type 1 ou 2 mal équilibré, avec épisodes fréquents d’hypo ou d’hyperglycémie

  • Diabète insulinodépendant non maîtrisé, ou sous traitement avec variations glycémiques importantes

  • Insuffisance surrénalienne (maladie d’Addison) ou hyperplasie congénitale des surrénales

  • Hyperthyroïdie ou hypothyroïdie non stabilisée, ou avec symptômes actifs

  • Goitre thyroïdien avec trouble du rythme cardiaque associé

  • Phéochromocytome (tumeur des glandes surrénales)

  • Troubles graves du métabolisme du sodium ou du potassium (hyponatrémie, hyperkaliémie, etc.)

  • Trouble métabolique rare affectant la régulation du glucose, du calcium ou du magnésium

  • Syndrome métabolique sévère, avec atteinte multi-organique ou troubles de la tension artérielle non stabilisés

  • Obésité morbide, associée à une atteinte cardiovasculaire ou respiratoire

  • Anorexie mentale ou trouble grave de l’alimentation, avec déséquilibre électrolytique ou fragilité physiologique manifeste

 

⚠️ L’Iboga agit sur les systèmes hormonaux et végétatifs de manière indirecte, via la stimulation du système nerveux autonome.
Chez les personnes souffrant de déséquilibres endocriniens ou métaboliques, cette action peut provoquer des réactions instables, difficiles à prédire, et parfois dangereuses.

👉 Toute personne sous traitement hormonal ou insulino-dépendant doit obtenir l’avis de son médecin avant toute démarche d’inscription.
👉 Un bilan endocrinien récent (glycémie, TSH, cortisol, électrolytes…) peut être exigé en cas d’antécédent connu ou de terrain à risque.
👉 En cas de déséquilibre modéré mais contrôlé, un accompagnement en microdosing peut être envisagé, uniquement sur présentation d’un certificat médical favorable et après accord préalable de l’équipe HIMA

 

                     

 

3.5 Grossesse et allaitement

La participation à une retraite Full Flood ou Stream à l’Iboga est strictement contre-indiquée pendant la grossesse et l’allaitement.

L’Iboga est une plante sacrée dont l’action est puissante, prolongée et multi-niveaux : elle mobilise en profondeur les systèmes nerveux, endocrinien, émotionnel et énergétique. Ces effets, bien que transformateurs, peuvent représenter un risque important pour un fœtus en développement ou pour un nourrisson allaité, en raison de la nature des alcaloïdes actifs, de la détoxification corporelle provoquée, et du stress physiologique que la plante induit.

⛔️ Pour des raisons de sécurité, les personnes concernées par les situations suivantes ne peuvent pas participer à une retraite Full Flood ou Stream:

  • Les personnes enceintes, quel que soit le stade de la grossesse

  • Les personnes en période d’allaitement, même partiel

  • Les personnes en projet immédiat de conception, dans les semaines suivant la retraite

⚠️ Justifications physiologiques de cette contre-indication :

  • Les alcaloïdes de l’Iboga (notamment l’ibogaïne) peuvent traverser la barrière placentaire et affecter le développement embryonnaire ou fœtal.

  • L’Iboga s’accumule dans les tissus adipeux et nerveux, avec une libération progressive sur plusieurs jours, prolongeant son effet dans l’organisme.

  • La plante induit une stimulation intense du système nerveux autonome, pouvant engendrer une accélération du rythme cardiaque, une hypotension, une insomnie ou un jeûne involontaire prolongé — autant d’effets non compatibles avec une grossesse ou un post-partum.

  • Les résidus métaboliques de l’ibogaïne peuvent être présents dans le lait maternel, et exposer un nourrisson à des substances neuroactives.


👉 En cas de projet de grossesse à court terme, il est recommandé d’attendre au moins 6 à 8 semaines après une cérémonie Iboga avant de concevoir, afin de garantir une élimination complète de la plante et une stabilisation physiologique.

 

                     

3.6 Traitements médicamenteux lourds ou incompatibles

La prise d’Iboga à dose cérémonielle nécessite un organisme aussi libre que possible de toute interférence chimique ou surcharge métabolique.
Certains médicaments, en particulier ceux affectant le système nerveux central, le cœur, le foie ou les voies sérotoninergiques, peuvent entraîner des interactions dangereuses, voire mortelles, en combinaison avec les alcaloïdes de l’Iboga (notamment l’ibogaïne et la noribogaïne).

Pour cette raison, certains traitements médicamenteux sont formellement incompatibles avec la participation à une retraite Full Flood ou Stream.

⛔️ Médicaments formellement contre-indiqués :

🧠 Psychotropes :

• Antidépresseurs ISRS, IRSNa, tricycliques ou IMAO (fluoxétine, sertraline, venlafaxine, amitriptyline, moclobémide…)
• Neuroleptiques / antipsychotiques (olanzapine, rispéridone, halopéridol…)
• Anxiolytiques de type benzodiazépines (alprazolam, diazépam, lorazépam, thioridazine…)
• Stabilisateurs de l’humeur (lithium, valproate, carbamazépine…)

❤️ Médicaments cardiaques :

• Bêtabloquants (propranolol, bisoprolol, métoprolol…)
• Antiarythmiques (amiodarone, flécaïnide, propafénone, sotalol…)
• Antihypertenseurs puissants, notamment ceux modifiant le rythme cardiaque
• Digitaliques et dérivés de la digoxine

⚠️ Autres classes critiques :

• Anticonvulsivants (lamotrigine, clonazépam, lévétiracétam…)
• Médicaments hépatotoxiques (isoniazide, méthotrexate, certains antifongiques…)
• Traitements hormonaux à dose élevée (corticoïdes prolongés, hormones thyroïdiennes instables…)
• Opioïdes, méthadone, buprénorphine
• Substituts nicotiniques à haute dose ou patchs transdermiques
• Antipaludéens et antirétroviraux à profil hépatotoxique ou neurotoxique

 

⚠️ L’ibogaïne est métabolisée en grande partie par le foie via l’enzyme CYP2D6. Toute médication perturbant cette enzyme peut entraîner un ralentissement du métabolisme de l’iboga, augmentant ainsi les risques de toxicité ou d’effets secondaires.

 

⚠️ Médicaments affectants l’enzymes CYP2D6 :

• ⛔️  Sont notamment concernés (médicaments formellement contre-indiqués):

Paroxétine (ISRS), Fluoxétine (ISRS), Bupropion (antidépresseur / sevrage tabagique), Quinidine (antiarythmique), Propafénone (antiarythmique), Clomipramine, Desipramine (tricycliques), Tamoxifène (anticancéreux hormonal), Halopéridol, Thioridazine (antipsychotiques), Métoprolol (bêtabloquant), Célécoxib (anti-inflammatoire COX-2), Dextrométhorphane (antitussif), Diphenhydramine (antihistaminique 1re génération), Ondansétron (anti-nauséeux)

⚠️ Certains médicaments peuvent provoquer un syndrome sérotoninergique ou déséquilibrer profondément le système neurovégétatif s’ils sont encore présents dans l’organisme lors de la prise d’Iboga. D’autres surchargent le foie ou affectent le cœur, augmentant le risque d’effets secondaires graves, notamment troubles du rythme cardiaque, convulsions, chute de tension ou perte de conscience.

⚠️ Médicaments formellement contre-indiqués pouvant provoquer un syndrome sérotoninergique :

Isocarboxazide, Linézolide, Phénelzine, Sélégiline, Tranylcypromine, Bupropion, Néfazodone, Trazodone, Venlafaxine, Citalopram, Escitalopram, Fluoxétine, Fluvoxamine, Paroxétine, Sertraline, Amitriptyline, Amoxapine, Désipramine, Doxépine, Imipramine, Maprotiline, Nortriptyline, Protriptyline, Trimipramine

⚠️ Autres substances actives formellement contre-indiqué :

Buprénorphine, Fentanyl, Hydrocodone , Mépéridine, Oxycodone, Pentazocine, Péthidine, Tramadol, Buspirone, Chlorphéniramine, Dextrométhorphane, Granisétron, 5-Hydroxytryptophane, Lévodopa, Métoclopramide, Olazapine, Ondansétron, Rispéridone, Ritonavir, Tryptophane, Valproate, Almotriptan, Életriptan, Frovatriptan, Naratriptan, Rizatriptan, Sumatriptan, Zolmitriptan

⚠️ Note importante : la liste des médicaments et substances présentée dans cette section n’est pas exhaustive. Elle est destinée à fournir des repères cliniques et préventifs essentiels, mais ne saurait couvrir l’ensemble des molécules, traitements ou interactions potentielles pouvant poser problème avec l’Iboga.


👉 Il est de la responsabilité de chaque participant de consulter un professionnel de santé qualifié pour évaluer sa situation spécifique, et de mentionner toute prise médicamenteuse, même ponctuelle ou ancienne, dans le questionnaire de santé.

👉 Tout traitement médicamenteux lourd, en cours ou récent, doit impérativement être signalé dans le questionnaire de santé.
👉 Un arrêt de traitement doit toujours être validé et encadré par un professionnel de santé compétent.
👉 Si un arrêt complet n’est pas possible dans les délais requis (généralement 4 semaines avant la retraite), la participation ne pourra être acceptée, et un report ou une réorientation vers un programme de microdosing pourra être proposé.

 

                     

3.7 Maladies auto-immunes et affections chroniques graves

L’Iboga agit en profondeur sur les systèmes nerveux, immunitaire, émotionnel et énergétique. Bien que son impact soit globalement harmonisant, il s’agit d’une plante extrêmement stimulante sur le plan neurovégétatif et métabolique.
Chez les personnes atteintes de maladies auto-immunes ou d’affections chroniques instables, cette stimulation peut déséquilibrer des systèmes déjà fragilisés, et provoquer des réactions imprévisibles.

Par principe de précaution, certaines pathologies auto-immunes sévères, inflammations systémiques ou maladies chroniques graves constituent des contre-indications absolues à la participation à une retraite Full Flood ou Stream.

⛔️ Sont concernées notamment :

🔥 Maladies auto-immunes à forte composante inflammatoire ou instable :

• Lupus érythémateux systémique (LES)
• Sclérose en plaques (SEP)
• Polyarthrite rhumatoïde évolutive sévère
• Maladie de Crohn ou rectocolite hémorragique en poussée
• Syndrome de Guillain-Barré, myélite transverse
• Dermatomyosite, polymyosite, vascularites systémiques
• Hashimoto ou Basedow non stabilisés

• Hypoparathyroïdie ou trouble sévère de la régulation calcique (avec risques de tétanie, spasmes, troubles électrolytiques)

🩺 Autres maladies chroniques graves :

• Insuffisance rénale, dialyse ou maladie rénale chronique avancée
• Maladies respiratoires graves (ex. : BPCO stade avancé, asthme non contrôlé)
• Cancer actif, sous traitement ou en rémission récente (depuis moins de 6 mois)
• Immunodépression majeure (ex. : VIH avec charge virale élevée ou CD4 très bas)
• Troubles auto-inflammatoires rares (maladies orphelines avec fièvres périodiques, inflammation chronique systémique…)

 

⚠️ L’Iboga provoque une réorganisation en profondeur des fonctions nerveuses et immunitaires. Dans certains cas, cela peut stimuler excessivement un système immunitaire déjà hyperactif ou catalyser une poussée inflammatoire.

👉 Toute maladie chronique, même si bien contrôlée, doit être signalée dans le questionnaire de santé.
👉 En cas de doute, un avis spécialisé (rhumatologue, interniste, immunologiste…) est recommandé.
👉 Une retraite Full Flood ou Stream ne pourra en aucun cas être autorisée si la maladie est en phase aiguë, instable ou évolutive.
👉 Dans certains cas stabilisés, non inflammatoires ou bien suivis, une orientation vers un programme de microdosing pourra être envisagée, avec un encadrement personnalisé et une validation médicale.

 

                     

3.8 Maladies infectieuses transmissibles ou chroniques graves

La participation à une retraite à l’Iboga implique un engagement physique, émotionnel, énergétique et spirituel important. Dr Iboga sollicite fortement l’organisme, stimule les systèmes nerveux, immunitaire et digestif, et mobilise une énergie importante sur les plans physique, émotionnel et vibratoire pour accompagner le processus de guérison.

Dans ce contexte, certaines maladies infectieuses transmissibles, ou affections chroniques infectieuses graves, peuvent non seulement compromettre la sécurité de la personne concernée en rendant l’organisme inapte à soutenir l’intensité d’une retraite Iboga Full Flood et Stream. Mais également représenter un risque pour les autres participants ou l’équipe encadrante et doit donc être signalée avec sincérité en amont.

Chez HIMA, nous sommes profondément respectueux du parcours de chacun, y compris de ceux vivant avec des pathologies complexes. Cependant, le cadre d’une cérémonie chamanique à l’Iboga chez HIMA n’est pas un espace adapté à la prise en charge de ces états de santé particuliers.

C’est pourquoi nous n’acceptons pas :

  • les personnes atteintes d’une maladie infectieuse transmissible en cours,

  • les personnes vivant avec une maladie infectieuse chronique grave (même stabilisée), dont l’état de vitalité est incompatible avec l’intensité d’une retraite Full Flood ou Stream.

⛔️ Maladies infectieuses chroniques graves (non acceptées en retraite) :

• VIH avec charge virale élevée ou immunité affaiblie (CD4 très bas) → participation uniquement possible si charge virale contrôlée, CD4 > 350 et suivi médical régulier (en accord avec votre professionnel de santé référent)
• Hépatite B ou C active, non traitée ou avec charge virale détectable
• Tuberculose active ou ancienne sans preuve de guérison complète
• Toute infection chronique affectant fortement le foie, les reins, le système immunitaire ou l’équilibre général

 

⛔️ Maladies infectieuses transmissibles (même bénignes) (non acceptées en retraite) :

• Gastro-entérite virale récente
• Grippe, maladies à coronavirus, bronchite ou angine bactérienne en cours
• Mononucléose infectieuse ou cytomégalovirus actifs
• Forte fièvre ou syndrome infectieux aigu non identifié
• Maladie infectieuse nécessitant un isolement ou un traitement antibiotique en cours

📌 Cela concerne aussi bien des maladies transmissibles par voie aérienne, cutanée, fécale-orale ou sanguine, que des maladies chroniques affectant durablement les fonctions immunitaires ou vitales du corps.

⚠️ Politique de report et de responsabilité

👉 Si vous contractez une maladie infectieuse transmissible dans les jours précédant la retraite, il est impératif de prévenir l’équipe HIMA au plus tôt, afin d’organiser un éventuel report dans les meilleures conditions et de permettre, si possible, la réattribution de votre place à un autre participant dans les délais nécessaires.

👉 Un avoir de report pourra être accordé, sur présentation d’un certificat médical précisant votre état de santé et contre-indiquant la participation à une cérémonie iboga (voir les modalités précises dans nos CGV).

👉 Les personnes ayant connaissance de leur état de santé infectieux chronique grave mais s’inscrivant à une retraite Iboga chez HIMA malgré nos contre-indications et recommandations et sans en faire mention engagent leur pleine responsabilité. Aucun remboursement ni avoir ne pourra être accordé, même en cas de non-admission sur place.

🌱 Chez HIMA, nous veillons à la sécurité de chacun dans un esprit d’accueil, de discernement et de responsabilité partagée. Toute information confidentielle liée à votre santé sera traitée avec respect et discrétion.

                     

3.9 Fragilités respiratoires et cardiovasculaires non pathologiques

Certaines personnes, bien qu’en apparente bonne santé, peuvent présenter des vulnérabilités fonctionnelles au niveau respiratoire ou cardiovasculaire : essoufflement à l’effort, tension instable, rythme cardiaque irrégulier ou épisodes d’angoisse somatisée.
Ces fragilités ne relèvent pas d’une pathologie diagnostiquée à proprement parler, mais peuvent représenter un risque accru en contexte de cérémonie à l’Iboga, où le corps est intensément sollicité (longue veille, possible jeûne partiel, purges, stimulations émotionnelles intenses, alternance tension/détente...).

Ces profils  nécessitent une évaluation attentive et dans certains cas, une orientation vers un accompagnement plus progressif.

🧭 Cas de figure à considérer avec vigilance :

  • Essoufflement au repos ou à l’effort sans cause identifiée

  • Sensations d’oppression thoracique, respiration courte en contexte de stress

  • Réactions physiologiques intenses au stress émotionnel (sudation, tremblements, spasmes, vertiges)

⚠️ L’Iboga agit directement sur le système nerveux autonome et peut provoquer des effets physiques intenses (périodes de tachycardie, frissons, nausées, alternance thermique, etc.).


Chez certaines personnes sensibles, cela peut accentuer des réactions physiologiques préexistantes.

👉 Toute sensation de fragilité respiratoire ou cardiovasculaire doit être mentionnée dans le questionnaire de santé, même si aucun diagnostic n’a été posé. Cette transparence permettra à l’équipe HIMA d’évaluer avec sérieux les conditions d’accès à une retraite Full Flood ou Stream.
👉 Un bilan de santé préventif (prise de tension, électrocardiogramme simple) est recommandé si des symptômes ont déjà été ressentis, même sans diagnostic.
👉 Dans les cas où la réaction du corps au stress est excessive ou instable, un microdosing encadré pourra être proposé pour soutenir un travail en douceur.

                     

3.10 États de faiblesse générale

Une retraite à l’Iboga dans le cadre Full Flood ou Stream sollicite fortement le corps et l’esprit. Elle implique des mouvements internes puissants, et une période de récupération post-cérémonie iboga à ne pas négliger.

De ce fait, les personnes présentant un état de fatigue important, une anémie non stabilisée, ou un affaiblissement physique global peuvent ne pas disposer des ressources nécessaires pour vivre ce type d’expérience de manière saine et sécurisée.

 

⛔️ États ou profils nécessitant un report ou une réorientation :

  • Anémie avérée non corrigée (carence en fer, B12, folates…)

  • État de dénutrition

  • Infection bactérienne/virale en cours[as2] 

  • Faiblesse physique liée à une convalescence récente

  • Perte importante de tonus musculaire

  • Syndrome de fatigue chronique (EM/SFC), fibromyalgie avec asthénie extrême

  • Chute de tension au lever, vertiges fréquents, difficultés à tenir debout longtemps

⚠️ Un état physique affaibli peut prolonger les effets secondaires, entraîner des malaises ou retarder considérablement l’intégration des visions, des purges ou des libérations émotionnelles.

👉 Une préparation renforcée (repos, alimentation reminéralisante, soutien naturopathique) est recommandée avant toute inscription, en particulier si des signes de faiblesse ont été ressentis récemment.
👉 Dans ce cadre de cérémonie l’Iboga n’est pas une solution pour “se rebooster” : il faut déjà disposer d’une base de vitalité suffisante pour pouvoir vivre la cérémonie dans de bonnes conditions.
👉 Dans certains cas, un accompagnement par microdosing, plus doux et graduel, pourra être envisagé en attendant que la vitalité globale soit rétablie.

3.1 Pathologies cardiaques
3.2 Pathologies hépatiques
3.3 Troubles psychiatriques et neurologiques
3.4 Troubles endocriniens et métaboliques
3.6 Traitements médicamenteux lourds ou incompatibles

4. Profils sensibles nécessitant vigilance, adaptation ou accompagnement spécifique

Certaines personnes, sans présenter de contre-indication médicale absolue, peuvent néanmoins être porteuses de déséquilibres physiologiques importants.
Ces déséquilibres, s’ils sont ignorés ou minimisés, peuvent compromettre la qualité de l’expérience, allonger les phases d’intégration, ou provoquer des réactions émotionnelles et corporelles disproportionnées.

Chez HIMA, nous considérons ces profils avec attention et bienveillance, en veillant à adapter l’accompagnement proposé lorsque cela est nécessaire.
Il ne s’agit pas de cas formellement exclus, mais de situations à évaluer avec vigilance, au cas par cas.

                     

4.1 Troubles métaboliques et déséquilibres hormonaux

Certains déséquilibres du métabolisme ou du système hormonal, même sans diagnostic médical formel, peuvent altérer la capacité du corps à intégrer l’expérience d’une retraite à l’Iboga.
Il s’agit ici de perturbations fonctionnelles affectant le poids, le cycle menstruel, la température corporelle, le sommeil, la vitalité ou la régulation glycémique, qui peuvent signaler un terrain fragile ou instable.

Dans ces situations, l’organisme peut manquer de stabilité pour soutenir l’intensité du processus, ou risquer de réagir de manière excessive à la stimulation neurovégétative induite par l’Iboga.

🧭 Profils et troubles à signaler lors de l’inscription :

• Amaigrissement rapide et inexpliqué, ou prise de poids brutale
• Aménorrhée prolongée (absence de règles depuis plus de 6 mois)
•Troubles du cycle menstruel sévères ou hémorragiques non stabilisés
• Bouffées de chaleur, sueurs nocturnes, insomnies hormonales intenses

• Syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) non traité ou très symptomatique

• Troubles majeurs de la régulation de la glycémie (hypoglycémies fréquentes, glycémie instable)

• Cortisol très bas (fatigue surrénalienne sévère) ou très élevé (hypercortisolisme, stress chronique avancé)

• Température corporelle anormalement basse ou instable, frilosité extrême, frissons persistants

⚠️ Même sans diagnostic clair, ces signes peuvent indiquer un terrain nécessitant plus de préparation et de stabilité avant de vivre une cérémonie iboga.

👉 Tout symptôme significatif lié au métabolisme ou aux hormones doit être signalé dans le questionnaire de santé, même s’il n’a pas encore fait l’objet d’une consultation médicale.
👉 En cas de doute, un bilan biologique général est conseillé avant toute inscription.
👉 Si le terrain hormonal est très instable ou si les symptômes affectent fortement la vitalité, une retraite Full Flood ne sera pas possible dans l’immédiat. Une orientation vers un microdosing encadré pourra être proposée en attendant un rééquilibrage suffisant.

 

                     

4.2 Faiblesses immunitaires modérées, infections anciennes

Le processus déclenché par l’Iboga mobilise l’énergie vitale et les ressources de l’organisme de manière intense. Chez certaines personnes présentant une immunité fragilisée ou un terrain infectieux ancien mal résorbé, l’intensité du processus peut solliciter davantage les ressources du corps, occasionner une fatigue plus marquée que la moyenne, ou ralentir la récupération physique après la retraite.

Bien que ces cas ne constituent pas une contre-indication absolue, ils doivent faire l’objet d’une évaluation approfondie, afin de s’assurer que le corps dispose de suffisamment de ressources immunitaires pour traverser le processus en toute sécurité.

 

🧭 Situations à signaler lors de l’inscription :

• Fatigue chronique ou récurrente post-virale (ex. : syndrome post-COVID, post-mononucléose…)
• Antécédents d’infections longues ou récidivantes (EBV, CMV, Lyme, candidose systémique, etc.)
• Infections bactériennes ou virales à évolution lente ou mal résolue
• Fragilité immunitaire modérée (globules blancs bas, immunité fluctuante, infections fréquentes)
• Présence prolongée d’une inflammation de bas grade (douleurs diffuses, gencives enflammées, peau réactive, intestins irrités, etc.)
• Convalescence incomplète d’une maladie infectieuse récente
• Traitement antibiotique ou antiviral dans les 6 semaines précédant la retraite

⚠️ Le système immunitaire joue un rôle central dans la capacité à intégrer une cérémonie d’Iboga. Un terrain affaibli peut retarder l’intégration, exacerber la fatigue post-retraite, ou créer une plus grande sensibilité aux effets secondaires.

 

👉 Toute faiblesse immunitaire connue ou toute infection ancienne non résolue doit être mentionnée dans le questionnaire de santé.
👉 Un bilan biologique peut être recommandé (CRP, leucocytes, test sérologique…) en cas de doute sur l’état immunitaire.
👉 En cas d’état de convalescence, une attente supplémentaire de quelques semaines à quelques mois pourra être proposée avant de planifier une retraite Full Flood.
👉 Un microdosing d’Iboga peut parfois représenter une approche douce et progressive pour accompagner le corps vers une meilleure vitalité avant toute retraite profonde.

5. Médicaments à arrêter absolument avant la retraite

La prise d’Iboga dans un cadre cérémoniel nécessite un corps aussi libéré que possible de toute interférence médicamenteuse ou chimique.
Même en l’absence de contre-indication médicale absolue, certains médicaments courants doivent impérativement être arrêtés avant toute retraite, car ils altèrent directement :

  • l'efficacité du processus de guérison,

  • la métabolisation des alcaloïdes de l’Iboga,

  • ou la sécurité globale du participant.

Certains médicaments, sans représenter un danger vital immédiat, saturent le foie, surchargent le système nerveux, ou empêchent l’accès profond aux mémoires cellulaires et subconscientes.
D’autres peuvent provoquer des effets secondaires ou des blocages énergétiques, qui entravent considérablement le travail de la plante.

➡️ Cette section présente donc les principales classes de médicaments devant être arrêtées au moins plusieurs jours, semaines, voire mois avant la retraite — selon leur nature, leur demi-vie, et leur impact.

⚠️ Tout arrêt de traitement médical doit obligatoirement être validé, encadré et justifié par un professionnel de santé compétent.
Aucun traitement ne doit être arrêté sans l’accord explicite de votre médecin, même s’il figure dans cette liste.

 

👉 Le questionnaire de santé permet à l’équipe HIMA de vérifier ces aspects avec rigueur, en lien avec le certificat médical obligatoire.

                     

 

5.1 Médicaments nécessitant un arrêt strict plusieurs semaines avant la retraite

Ce point a déjà été partiellement abordé dans la partie 3.6 – Traitements médicamenteux lourds ou incompatibles, où sont listées les contre-indications absolues liées à certains médicaments.
La présente section vient compléter ce cadre en précisant les délais nécessaires d’arrêt pour chaque classe de substances concernées, même lorsque le traitement a déjà été interrompu.

Certaines molécules ont une action longue sur l’organisme, même après l’arrêt de leur prise.
Leur métabolisation lente, leur impact sur le foie, ou leur action sur le système nerveux central rendent toute prise récente incompatible avec une cérémonie iboga Full Flood ou Stream.

Pour ces raisons, les médicaments listés ci-dessous doivent obligatoirement être arrêtés au moins 4 semaines avant la retraite, sauf indication contraire.
Dans certains cas, un délai plus long peut être recommandé, en fonction de la durée de traitement, de la fragilité du terrain, ou des interactions potentielles.

⛔️ Médicaments concernés :

🧠 Psychotropes et régulateurs de l’humeur :
• Antidépresseurs ISRS, IRSNa, tricycliques, IMAO (ex. : fluoxétine, venlafaxine, amitriptyline, moclobémide)
• Neuroleptiques / antipsychotiques (ex. : olanzapine, rispéridone, halopéridol)
• Anxiolytiques de type benzodiazépines (ex. : alprazolam, diazépam, lorazépam)
• Stabilisateurs de l’humeur (ex. : lithium, valproate, carbamazépine)

❤️ Médicaments cardiovasculaires :
• Bêtabloquants (ex. : propranolol, bisoprolol)
• Antiarythmiques (ex. : amiodarone, flécaïnide)
• Digitaliques et dérivés de la digoxine
• Antihypertenseurs puissants modifiant la fréquence cardiaque

🧪 Autres médicaments à haut risque d’interaction :
• Anticonvulsivants (ex. : lamotrigine, clonazépam, lévétiracétam)
• Opioïdes et médicaments de substitution (ex. : méthadone, buprénorphine)
• Médicaments hépatotoxiques (ex. : isoniazide, méthotrexate, certains antifongiques ou antipaludéens)
• Traitements hormonaux à dose élevée (ex. : corticoïdes prolongés, hormones thyroïdiennes instables)
• Médicaments affectant fortement le métabolisme du foie ou la conduction nerveuse

⚠️ De nombreuses substances parmi celles citées peuvent encore être présentes dans le sang ou les tissus plusieurs semaines après leur arrêt.


Leur interaction avec les alcaloïdes de l’Iboga pourrait provoquer :

  • désorientation, tachycardie, convulsions, perte de conscience, syndrome sérotoninergique, ou altération du rythme cardiaque

  • surcharge hépatique ou neurochimique

  • blocage du processus de libération ou d’intégration

👉 Tous ces médicaments doivent être signalés dans le questionnaire de santé, même s’ils ont été arrêtés récemment.
👉 La date d’arrêt, la durée de prise et le motif initial du traitement doivent être précisés.
👉 En cas d’incertitude ou de terrain sensible, un report de la retraite ou une orientation vers un accompagnement en microdosing pourra être proposé.

⚠️ Note importante : la liste des médicaments et substances présentée dans cette section n’est pas exhaustive. Elle est destinée à fournir des repères cliniques et préventifs essentiels, mais ne saurait couvrir l’ensemble des molécules, traitements ou interactions potentielles pouvant poser problème avec l’Iboga.

 

                     

5.2 Médicaments non strictement interdits, mais fortement déconseillés

Certains médicaments, bien qu’ils ne présentent pas de danger vital en cas d’interaction avec l’Iboga, peuvent néanmoins altérer fortement la qualité du processus.


Leur présence dans l’organisme peut :

  • limiter l’efficacité des visions ou des libérations émotionnelles,

  • ralentir la métabolisation des alcaloïdes actifs de la plante,

  • saturer le foie ou les récepteurs nerveux,

  • ou induire une sensation de blocage, de confusion ou d’inefficacité durant la cérémonie iboga.

👉 Ces substances ne sont donc pas considérées comme des contre-indications absolues, mais leur usage est fortement déconseillé dans les semaines précédant la retraite.

⚠️ Médicaments et substances concernés :

🟡 Antalgiques et anti-inflammatoires courants :
• Paracétamol (Doliprane, Dafalgan)
• Ibuprofène, kétoprofène, aspirine
• Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)

🟡 Antihistaminiques :
• Cétirizine, loratadine, hydroxyzine…

🟡 Antibiotiques récents (dans les 2 semaines précédant la retraite)
• Risque de surcharge hépatique ou déséquilibre intestinal

🟡 Somnifères légers / hypnotiques ponctuels
• Zolpidem, zopiclone, mélatonine à haute dose, etc.

🟡 Suppléments hormonaux non stabilisés
• Hormones thyroïdiennes (en cas de dosage instable ou d’ajustement récent)
• Traitements hormonaux de substitution sans suivi clair

🟡 Médicaments affectant la vigilance ou le système nerveux
• Antispasmodiques, antinauséeux, antiémétiques, anti-vertiges (dompéridone, métoclopramide, etc.)

 

⚠️ Ces substances, même considérées comme bénignes, peuvent perturber les récepteurs sur lesquels agit l’Iboga, et freiner l’accès aux couches plus profondes du subconscient.

👉 Il est donc vivement recommandé d’en arrêter l’usage au moins 7 à 10 jours avant la retraite, sauf indication contraire de votre médecin.
👉 Si un traitement ponctuel est jugé nécessaire (ex. : antalgique pour douleur aiguë), merci de nous en informer à l’avance pour évaluer les risques et ajuster votre préparation.
👉 L’objectif est de garantir à la plante un espace d’action libre, fluide, et non entravé par des interférences pharmacologiques.

 

⚠️ Note importante : la liste des médicaments et substances présentée dans cette section n’est pas exhaustive. Elle est destinée à fournir des repères cliniques et préventifs essentiels, mais ne saurait couvrir l’ensemble des molécules, traitements ou interactions potentielles pouvant poser problème avec l’Iboga.

 

                     

 

5.3 Médicaments récemment arrêtés : précautions supplémentaires

De nombreuses substances, notamment les psychotropes, les neuroleptiques ou les traitements lourds au long cours, peuvent laisser une empreinte durable sur les récepteurs cérébraux, le métabolisme hépatique ou l’équilibre neurochimique du corps.

 

Cette mémoire pharmacologique peut persister plusieurs semaines, voire plusieurs mois après l’arrêt, et interférer silencieusement avec le processus de l’Iboga.

🔍 Profils concernés :

• Personnes ayant récemment arrêté un antidépresseur, neuroleptique ou stabilisateur de l’humeur
• Anciens traitements au long cours (plusieurs mois ou années)
• Arrêt de traitements hormonaux ou thyroïdiens sans rééquilibrage stabilisé
• Traitements lourds terminés dans les 2 à 6 mois précédents (chimiothérapie, immunosuppresseurs, opioïdes…)
• Médicaments affectant durablement le foie, les reins ou le système nerveux

⚠️ Dans certains cas, bien que le médicament ait été arrêté à temps, le corps n’a pas encore retrouvé son équilibre biochimique naturel.

👉 Si vous avez interrompu récemment un traitement de ce type, merci de le mentionner en détail dans le questionnaire de santé, même si vous n’en prenez plus.
👉 Une période d’attente supplémentaire peut être recommandée afin de laisser au corps le temps de se régénérer avant de recevoir l’Iboga.
👉 En cas de doute, n’hésitez pas à réserver un appel via notre site pour en discuter avec notre équipe.

 

                     

5.4 Arrêt de traitement : rappels importants et responsabilités

Il est essentiel de rappeler que, même lorsqu’un médicament est listé comme incompatible avec l’Iboga, son arrêt ne doit jamais être entrepris sans accompagnement médical.

Certaines substances, en particulier les psychotropes, les benzodiazépines, les traitements hormonaux ou les médicaments cardiovasculaires, peuvent entraîner un effet rebond ou un syndrome de sevrage dangereux si l’arrêt est mal conduit.

 

⚠️ HIMA n’est pas une structure médicale et ne peut en aucun cas vous conseiller sur la manière d’arrêter un traitement.
⚠️ Nous ne sommes pas habilités à recommander, ajuster, remplacer ou interrompre une prescription médicale en cours.

 

👉 Tout arrêt de traitement, quel qu’il soit, doit être validé, justifié et encadré par un professionnel de santé qualifié.
👉 Si votre médecin refuse l’arrêt ou recommande un report de la retraite, nous vous invitons à respecter son avis et à vous tourner vers un microdosing ou un report à une date ultérieure.

💡 En cas de doute sur la compatibilité de votre situation médicale ou de votre historique thérapeutique, nous vous encourageons à prendre rendez-vous directement via notre site internet pour échanger avec un membre de l’équipe HIMA.

6. Substances psychoactives et drogues à éviter

L’Iboga est une plante sacrée qui agit de manière très puissante sur l’ensemble des systèmes de l’être :
physiologique, neurologique, subconscient, émotionnel, énergétique et spirituel.
Son action profonde nécessite un terrain le plus sobre, clair et stable possible — sur tous les plans.

Toute consommation récente de drogues récréatives, de substances psychoactives, ou de produits altérant la conscience peut perturber gravement :

  • la physiologie du corps (rythme cardiaque, tension, système nerveux autonome),

  • l’ancrage nécessaire pour vivre le processus,

  • la sécurité émotionnelle et psychique du participant,

  • ou l’efficacité même de la cérémonie iboga.

⚠️ Certaines interactions entre l’Iboga et des substances apparemment anodines (comme le cannabis ou les champignons) peuvent provoquer des états confus, des paniques, des dérèglements du rythme cardiaque, ou bloquer totalement l'accès aux couches profondes du subconscient.

⚠️ D’autres, comme la cocaïne, les amphétamines ou le LSD, laissent une empreinte énergétique et neurochimique durable qui interfère avec la plante, même plusieurs semaines après la dernière prise.

👉 Toute consommation récente ou ancienne de substances psychoactives doit être mentionnée de manière transparente dans le questionnaire de santé.
👉 En cas de doute, un appel avec l’équipe HIMA pourra être proposé pour évaluer la compatibilité avec le processus.

 

                     

 

6.1 ​Drogues dures et stimulants synthétiques

Les drogues dites « dures » ou « stimulants synthétiques » affectent profondément le système nerveux central, le cœur, le foie, et la régulation neurochimique globale de l’organisme.
Leur interaction avec l’Iboga, même à distance dans le temps, peut être extrêmement dangereuse.

Certaines de ces substances laissent une empreinte neurotoxique ou énergétique durable, perturbant les circuits dopaminergiques, sérotoninergiques et adrénergiques.
L’Iboga agit précisément sur ces derniers pour opérer ses effets de guérison, de réinitialisation et de rééquilibrage en profondeur du système nerveux.


Ces chevauchements neurochimiques peuvent entraîner des réactions imprévisibles ou dangereuses si le terrain n’est pas totalement stabilisé au moment de la cérémonie iboga.

⚠️⛔️ Substances formellement incompatibles avec l’Iboga⛔️⚠️ :

• Cocaïne
• Crack
• Amphétamines et dérivés (speed, méthamphétamine, crystal meth…)
• MDMA (ecstasy)
• Kétamine
• NO2 (protoxyde d’azote, “gaz hilarant”)
• Mephedrone, 3-MMC, 4-MEC, cathinones de synthèse
• Drogues de type “bath salts” ou “designer drugs”
• GHB/GBL (gamma-hydroxybutyrate)
• Substances de type “popper” (nitrites volatils)

⚠️ Ces substances peuvent provoquer des effets secondaires graves en combinaison ou en résidu avec l’Iboga :

  • arythmies cardiaques

  • convulsions

  • chute de tension ou hypertension extrême

  • troubles sévères de la conscience

  • syndrome sérotoninergique

  • accès de panique, confusion, désorientation

  • effondrement énergétique ou physique durant la cérémonie

👉 L’Iboga est reconnu pour son potentiel thérapeutique exceptionnel dans les cas d’addictions sévères.
En agissant en profondeur sur les chemins neuronaux liés à la dépendance, il peut réinitialiser certains circuits de récompense, reconfigurer les récepteurs dopaminergiques, et interrompre des boucles neurochimiques associées à l’addiction.

 

Cependant, ces processus nécessitent un encadrement clinique spécialisé, avec suivi médical rapproché, protocole personnalisé, et présence d’une équipe de soins.

👉 Chez HIMA, nous ne recevons pas de personnes souffrant d’addictions sévères à ce type de substances.
Notre cadre d’accompagnement chamanique non clinique n’est pas adapté à ce type de prise en charge.

👉 Toute consommation, même ponctuelle, de ces drogues dans les 2 à 6 mois précédant la retraite doit être signalée.
👉 Selon les cas, un bilan de santé ou un délai de plusieurs mois pourra être recommandé avant toute participation.
👉 La participation à une retraite Full Flood ou Stream ne pourra être autorisée sans période de sevrage clairement établie, stabilisée et documentée.


👉 Une orientation vers un programme de microdosing ou un accompagnement thérapeutique préalable pourra être proposée si une dépendance ancienne est en voie de résolution.

 

                     

6.2 Cannabis, champignons et substances dites naturelles

Certaines substances, bien qu’issues du monde végétal ou fongique, peuvent interagir de manière profondément déséquilibrante avec l’Iboga, en particulier lorsqu’elles sont encore actives dans l’organisme ou le champ énergétique du participant.

C’est notamment le cas du cannabis, des champignons psychédéliques (psilocybine), ou du LSD.

 

⚠️ Risques liés à l’association ou à une consommation récente :

  • Blocage ou fragmentation de l’expérience Iboga : visions incohérentes, agitation et confusion mentale, difficulté d’intégration

  • Surcharge du système nerveux : surstimulation, insomnies prolongées, spasmes, inconfort physique intense

  • Perturbation énergétique : mélange de champs vibratoires incompatibles, confusion intérieure, perturbation dans la guidance intérieure

👉 Ces substances peuvent laisser des empreintes énergétiques et neuronales profondes — parfois bien plus durables qu’on ne le pense, interférant avec l’action de l’Iboga.

👉 Une consommation même espacée de plusieurs semaines peut affecter la qualité, la fluidité ou la profondeur de l’expérience avec l’Iboga.

👉 Il est donc impératif de respecter un temps de sevrage d’au moins 2 mois avant toute participation à une retraite Full Flood ou Stream avec HIMA.

🌿 Sont notamment concernées (avec délais minimaux recommandés avant une retraite Iboga) :
Cannabis (herbe, résine, huile, usage médical ou récréatif) → idéalement 2 mois, obligatoirement 1 mois avant le début de la cérémonie iboga
Champignons hallucinogènes (psilocybine, truffes magiques, amanite muscaria) → minimum 1 mois
LSD (acide, microdosing inclus), DMT, changa, yopo → minimum 1 mois
• Produits à base d’Ayahuasca ou analogues, également produits contenant de la mescaline (PEYOTL, SAN PEDRO…) (y compris microdoses ou préparations similaires) → minimum 2 semaines

 

👉 Ces délais visent à garantir que les circuits neurochimiques et les champs subtils soient suffisamment stabilisés pour permettre à l’Iboga d’agir en profondeur, sans interférences ni surcharge du système nerveux et du système subtil.
👉 Merci de respecter scrupuleusement ces délais, même si vous vous sentez “prêt” physiquement ou émotionnellement. Ces recommandations s’appuient sur l’observation directe des effets croisés dans les contextes chamaniques.

👉 Si vous avez consommé récemment l’une de ces substances, merci de le mentionner dans le questionnaire de santé.
👉 En cas de doute, nous vous invitons à réserver un appel via notre site internet pour en discuter avec notre équipe.
👉 Un accompagnement par microdosing d’Iboga pourra éventuellement être proposé dans un second temps, si les conditions le permettent.

🌀 À noter :
Dans certains cas, l’Iboga peut faire remonter à la conscience des souvenirs ou émotions issus d’expériences psychédéliques antérieures qui n’auraient pas été pleinement intégrés.
Ce phénomène, loin d’être problématique, peut au contraire offrir l’occasion de transformer un vécu non résolu en espace de guérison profonde, à condition que le corps et le mental soient prêts à soutenir ce processus.
Si vous avez traversé un “bad trip” ou une cérémonie difficile dans le passé, merci de nous en informer. Cela nous permettra de vous accompagner de manière attentive, dans un cadre sécurisant et respectueux de votre parcours.

                     

6.2.1🌿 Précisions énergétiques sur l'esprit du cannabis

Chez HIMA, nous considérons que certaines plantes dites sacrées possèdent une conscience propre, parfois plus vaste et élaborée que celle de nombreux êtres humains. Toutefois, chaque plante a une nature, une intention et une façon d’interagir avec l’humain qui lui sont spécifiques.

L’esprit de l’Iboga, que nous appelons avec respect Dr Iboga, œuvre profondément pour la libération de l’humain et l’élévation de sa conscience. Il agit avec une efficacité, une clarté et une puissance rare, toujours au service de l’amour et de la vérité.

 

L’esprit du cannabis, bien qu’intelligent et doté d’un réel pouvoir, n’est pas animé du même degré d’amour inconditionnel pour l’humain que des plantes comme l’Iboga ou l’Ayahuasca. Il peut, dans certains contextes, se montrer plus instable, réactif ou ambivalent, en particulier lorsqu’il est consommé sans conscience du sacré, sans cadre cérémoniel, ou de manière récréative.

 

Bien que certains praticiens expérimentés l’utilisent parfois dans des contextes très encadrés et cérémoniels, le cannabis manifeste parfois une conscience marquée par une forme d’"égo".

Lorsqu’il est consommé sans respect du cadre sacré/cérémoniel, il peut générer :

• Une dépendance psychique insidieuse
• Une illusion de clarté intérieure ou de vision spirituelle
• Une baisse de vitalité énergétique
• Un flou dans le positionnement personnel (fuite, confusion, apathie)
• Une saturation du champ mental, bloquant la véritable introspection

• Et également des brèches dans le champ vibratoire / corps subtils, rendant l’ancrage et la protection énergétique plus vulnérables

Dans le cadre d’une cérémonie iboga, la présence de ces empreintes énergétiques peut interférer gravement avec le travail subtil de la plante, brouiller la guidance intérieure, et empêcher l’ouverture d’une expérience authentique, stable et profondément transformatrice.

Nous accueillons avec bienveillance les personnes ayant consommé du cannabis par le passé ou encore récemment. Cependant, nous insistons fermement sur le fait que toute consommation de cannabis — sous quelque forme que ce soit — doit être arrêtée au minimum 2 mois avant le début de la retraite.

👉 Nous ne prenons pas en charge les cas de dépendance sévère au cannabis.
👉 En cas de dépendance légère à modérée, un accompagnement par microdosing d’Iboga pourra être envisagé si les conditions le permettent, après évaluation.
👉 Toute consommation récente doit impérativement être mentionnée dans le questionnaire de santé.

6.2.1🌿 Précisions énergétiques sur l'esprit du cannabis
7. Alcool, caféine/théine, nicotine : sevrage avant retraite

L’Iboga est une plante sacrée dotée d’un puissant potentiel de réinitialisation des circuits liés aux comportements de dépendance. Il est fréquent que des participants viennent en retraite avec l’intention de se libérer de certaines habitudes compulsives ou consommations régulières — qu’il s’agisse de tabac, de café, d’alcool ou d’autres substances intégrées au quotidien.

Nous accueillons ces intentions avec bienveillance. Cependant, pour que le travail de l’Iboga puisse s’opérer en profondeur, et dans les meilleures conditions possibles pour l’ensemble du groupe, il est essentiel de préparer le corps en amont par un sevrage progressif et conscient de ces substances.

Certaines de ces molécules, bien que légales et socialement acceptées, perturbent fortement le système nerveux autonome, surchargent le foie, ou entrent en interférence directe avec l’action neurochimique et énergétique de l’Iboga.

👉 Ce chapitre détaille pour chaque substance :

  • les raisons de son incompatibilité ou de sa limitation en contexte de cérémonie iboga,

  • les délais impératifs ou recommandés de sevrage avant la retraite,

  • les modalités d’accueil des profils dépendants (réduction progressive, accompagnement, microdosing si nécessaire).

 

⚠️ Pour toutes les substances mentionnées ci-dessous, la consommation est strictement interdite pendant toute la durée de la retraite, y compris en dehors des cérémonies iboga.


Tout manquement à cette consigne pourra entraîner l’exclusion immédiate du participant, sans remboursement possible.
Cette mesure vise à garantir la sécurité de tous et la qualité du travail chamanique proposé par HIMA.

                     

7.1 Alcool : une interférence majeure avec l’Iboga

La consommation d’alcool est formellement incompatible avec la prise d’Iboga dans le cadre d’une retraite Full Flood ou Stream.
Les effets de l’alcool perdurent bien au-delà de la dernière consommation visible, sa présence dans l’organisme — même résiduelle — peut profondément altérer, freiner ou inhiber l’action de l’Iboga à plusieurs niveaux :

  • Il interfère avec le métabolisme hépatique des alcaloïdes de l’Iboga, en surchargeant le foie, ce qui peut bloquer ou altérer l’absorption de la plante.

  • Il affaiblit la vitalité de l’organisme, rendant la cérémonie iboga plus difficile à intégrer physiquement et énergétiquement.

  • Il modifie le fonctionnement du système nerveux, risquant de provoquer des effets secondaires désagréables ou imprévisibles (vertiges, nausées intenses, confusion mentale…).

  • Il peut court-circuiter totalement les effets de l’Iboga, en neutralisant ou ralentissant la pénétration des principes actifs dans les couches profondes de la conscience. Il peut ainsi empêcher le processus de se déployer pleinement.

  • Il peut restreindre une vraie purge, bloquer l’ouverture des visions ou entraîner une expérience fragmentée, opaque ou incomplète

Sur le plan énergétique, il crée des fragilités dans le champ vibratoire, générant un état d’instabilité intérieure, de fuite émotionnelle ou de confusion mentale, incompatible avec la clarté du travail demandé par l’Iboga.

⚠️ Même si l’alcool n’est plus détectable dans le sang, il laisse une empreinte sur le plan physiologique, hépatique et énergétique.
Le foie, organe-clé de la métabolisation de l’Iboga, peut rester surchargé ou en état de déséquilibre plusieurs jours après l’arrêt, compromettant la qualité du travail avec la plante.

⛔️ Tolérance zéro

Pour toutes ces raisons, la consommation d’alcool est strictement interdite avant et pendant la retraite.
Cette exigence n’est pas symbolique : elle relève de la sécurité physique et énergétique du participant.

⏳ Délai de sevrage impératif :

  • ⚠️Arrêt impératif : au minimum 7 jours avant la retraite

  • Arrêt recommandé : 2 à 4 semaines avant, surtout en cas de consommation régulière, festive ou excessive

 

👉 Si l’arrêt de la consommation n’a pas été respecté au moins 7 jours avant la date de début de la retraite, HIMA se réserve le droit de refuser l’accès à la cérémonie iboga, sans possibilité de remboursement.

❗️Cas particuliers

Si vous êtes dans un rapport de forte dépendance à l’alcool, ou si l’arrêt complet de la consommation vous semble difficile ou risqué :

  • Vous ne devez pas participer à une cérémonie iboga Full Flood chez HIMA.

  • Nous vous invitons à vous rapprocher d’un centre spécialisé ou d’un protocole médicalisé adapté.

  • Une orientation vers un accompagnement par microdosing d’Iboga pourra être envisagée à moyen terme, si votre santé le permet, en accord avec notre équipe.

📌 L’alcool étant parfois consommé sous forme cachée (digestifs, liqueurs, extraits…), veillez à l’éliminer complètement, même en faible quantité.

🌱 Rappel :

L’Iboga agit puissamment sur les racines de la dépendance, en réinitialisant les circuits neuronaux liés à l’addiction et en restaurant une souveraineté de corps et d’esprit.
Plus le corps est libéré de substances comme l’alcool, plus son action sera claire, fluide et transformatrice.


⚠️ La consommation d’alcool est interdite pendant toute la durée de la retraite. Tout non-respect de cette règle entraînera l’exclusion immédiate, sans remboursement possible.

👉 Tout antécédent de dépendance à l’alcool, ou toute consommation récente, doit être signalé dans le questionnaire de santé, même si vous estimez avoir “stoppé” ou réduit votre consommation.

👉 En cas de doute, merci de réserver un appel avec l’équipe HIMA pour un échange confidentiel et respectueux.

 

                     

7.2 Caféine et théine : stimulants et excitants à éviter

La caféine (présente dans le café, le maté, certaines boissons énergisantes ou sodas) et la théine (forme identique de la caféine présente dans le thé) sont des substances excitantes qui agissent directement sur le système nerveux central.

 

Même si elles sont perçues comme banales ou inoffensives dans notre culture, elles entraînent une stimulation artificielle de l’éveil, de la vigilance et du rythme cardiaque, perturbant l’équilibre du système nerveux autonome — là même où l’Iboga agit de façon profonde et régulatrice.

 

Elles peuvent également affecter le système digestif (acidité, transit), le sommeil (réveils nocturnes, agitation mentale) et accentuer les phases d’anxiété ou de nervosité latentes. Elles sont également connues pour allonger l’intervalle QT, ce qui augmente le risque de troubles du rythme cardiaque, un facteur à prendre très au sérieux dans la préparation du corps à l’Iboga.

 

Ces perturbations peuvent interférer avec le travail subtil et énergétique de l’Iboga.

⚠️ Risques et effets indésirables potentiels liés à la présence de caféine ou théine dans le corps :

• Interférence avec le processus introspectif
• Fragmentation des visions ou difficulté à entrer dans un état modifié de conscience stable
• Inhibition de la purge ou altération des libérations émotionnelles
• Accélération cardiaque non souhaitée pendant la cérémonie iboga
• Inconfort physique : palpitations, agitation, nervosité
• Hyperactivation du système nerveux : résistance mentale, tensions internes, incapacité à lâcher-prise
• Perturbation du rythme veille/sommeil pendant les nuits de cérémonie, rendant l’intégration plus difficile
• Accentuation des effets secondaires : tachycardie, nausées, tremblements, tension nerveuse
• Brouillage énergétique : surcharge mentale, fermeture émotionnelle, confusion intérieure
• Diminution de l’ancrage corporel : difficulté à se connecter pleinement au corps, visions floues ou mal intégrées

 

👉 Bien que ces effets ne soient pas aussi sévères que ceux de l’alcool ou des psychotropes, ils réduisent significativement la qualité du travail avec l’Iboga et peuvent rendre l’expérience plus confuse, fragmentée, inconfortable ou difficile à intégrer, avec un risque de blocage ou d’opacité du processus.

Recommandations de sevrage

⏳ Délai de sevrage recommandé :

  • Arrêt idéalement 2 semaines avant la retraite, pour permettre au système nerveux de retrouver un rythme plus naturel

  • ⚠️Arrêt obligatoire au minimum 5 jours avant le début de la retraite, sans exception

⚠️ Si ce délai d’arrêt obligatoire n’est pas respecté, HIMA se réserve le droit de refuser la participation à la cérémonie iboga, sans possibilité de remboursement, même si l’arrivée sur place a déjà eu lieu.

👉 En cas de doute ou de difficulté à respecter le délai recommandé, merci de réserver un appel via notre site internet pour échanger avec notre équipe.

⛔️ Toute consommation de café, thé noir, thé vert, maté ou boissons énergisantes contenant de la caféine ou de la théine est strictement interdite pendant la retraite.


Tout manquement à cette règle peut entraîner un refus de participation à la cérémonie iboga, sans remboursement possible.

 

💬 Et en cas de dépendance ?

De nombreuses personnes consomment café ou thé quotidiennement, parfois depuis des années. Si l’arrêt complet vous semble difficile ou déclenche des symptômes de sevrage (migraines, fatigue, irritabilité…), nous vous invitons à amorcer un sevrage progressif au moins deux semaines avant la retraite.

Plus le corps est purifié de ces stimulants, plus l’Iboga pourra agir en profondeur, sans résistance ni surcharge nerveuse.

 

🌱 Rappel
L’Iboga agit précisément sur les circuits de l’addiction et de l’hyperstimulation. En vous en libérant partiellement en amont, vous préparez le terrain pour une expérience plus claire, stable et transformatrice.

👉 Toute consommation récente ou dépendance connue à la caféine ou à la théine doit être mentionnée dans le questionnaire de santé.

⚠️HIMA ne traite pas les addictions sévères, mais accueille les personnes dans un parcours de libération douce, en lien avec leur volonté.

 

                     

 

7.3 Nicotine : réduction fortement recommandée avant la retraite

La nicotine est une substance psychoactive présente dans le tabac (cigarette, tabac à rouler, cigares…), les substituts nicotiniques (patchs, gommes, sprays) et les cigarettes électroniques (vapotage). Elle agit principalement sur les récepteurs nicotiniques du cerveau et stimule les systèmes dopaminergique, noradrénergique et cholinergique.

Ces effets rapides de stimulation, suivis d’une phase de tension ou de manque, interfèrent directement avec l’action profonde, prolongée et régulatrice de l’Iboga.

La présence de nicotine n’est pas sans conséquence dans le cadre d’une cérémonie à l’Iboga — tant sur le plan physiologique qu’énergétique.

⚠️ Risques d’interférences avec la nicotine :

• Déséquilibres du rythme cardiaque et de la tension artérielle pendant la cérémonie iboga
• Agitation, nervosité, impatience, sensation de manque pendant les longues phases de veille
• Fragmentation de l’expérience : difficulté à rester centré, tendance à l’évitement émotionnel
• Diminution de la profondeur des visions ou difficulté à entrer dans l’état modifié de conscience
• Interférence énergétique : sensation d’enfermement mental ou de brouillage vibratoire
• Inhibition partielle des effets purgatifs ou libérateurs de l’Iboga

👉 Plus le taux de nicotine résiduel dans le corps est faible, plus l’Iboga peut déployer son action en profondeur, notamment sur les circuits de la dépendance.

⏳ Délai de sevrage recommandé :

• Idéalement : arrêt total 4 semaines avant la cérémonie iboga
• Obligatoire : arrêt complet au moins 4 jours avant le début de la retraite
• Aucune consommation de nicotine (sous quelque forme que ce soit) ne sera tolérée sur le lieu de la retraite.

 

⚠️ Si ce délai minimal n’est pas respecté, HIMA se réserve le droit de refuser la participation à la cérémonie iboga, sans remboursement possible.

💬 Et si vous êtes fumeur ou vapoteur régulier ?

HIMA n’accueille pas les cas de dépendance sévère nécessitant un encadrement médical. En revanche, nous recevons avec bienveillance les personnes souhaitant amorcer un processus de libération de la dépendance.

L’Iboga peut agir en profondeur sur les circuits neurologiques impliqués dans les comportements addictifs, y compris la dépendance à la nicotine. De nombreux participants ont réussi à se libérer durablement du tabac grâce à une cérémonie bien préparée et à un engagement sincère dans le processus.

👉 Si un arrêt total avant la retraite vous semble difficile, nous vous invitons à amorcer une réduction progressive des apports nicotiniques, au moins deux semaines avant la cérémonie iboga.

👉 Un accompagnement personnalisé, ou une orientation temporaire vers un programme de microdosing encadré, peut vous être proposé si nécessaire.

🌱 Rappel
L’Iboga agit en réinitialisant en profondeur les circuits de la dépendance. Moins votre organisme est saturé par des substances comme la nicotine, plus son action sera fluide, claire et efficace.

👉 Toute dépendance, consommation récente ou tentative de sevrage doit être mentionnée dans le questionnaire de santé.
👉 En cas de doute, ou si vous avez besoin de soutien, merci de réserver un appel avec l’équipe HIMA pour une évaluation bienveillante et confidentielle.

 

                     

7.4 ⏳ Temps de sevrage post-cérémonie iboga 👉 intégration optimale

À l’issue d’une retraite à l’Iboga, il est essentiel de respecter une période de continuité dans le sevrage des substances excitantes, psychoactives ou perturbatrices du système nerveux.
Même si la cérémonie est terminée, Dr Iboga continue d’œuvrer subtilement dans le corps
, le cerveau et le champ énergétique pendant plusieurs semaines après la prise, facilitant l’intégration, la clarté mentale, l’équilibre émotionnel et l’ancrage des transformations vécues.

👉 Les alcaloïdes de l’Iboga, et notamment la noribogaïne, restent actifs dans l’organisme pendant environ un mois après la cérémonie iboga. C’est une période précieuse, durant laquelle l’Iboga continue d’aligner, de nettoyer et de renforcer ce qui a été amorcé pendant la retraite.

⚠️ La reprise trop précoce de substances comme l’alcool, le cannabis, la caféine ou la théine risque non seulement de créer des interférences physiologiques, mais aussi d’interrompre brutalement les bienfaits durables de l’Iboga.
Clarté mentale, élévation vibratoire, guidance intérieure et libération des automatismes comportementaux pourraient être affaiblis, voire annulés.

⏳ Temps de sevrage post-cérémonie iboga recommandé :

  • Alcool, caféine/théine, nicotine :
    ⚠️→ 1 semaine c’est le temps de sûreté minimum pour éviter : les réactions dangereuses, à risque ou inattendus et les interférences physiques et énergétiques
    → 1 mois recommandé pour soutenir pleinement l’intégration du processus

📌 Nous conseillons vivement d’honorer cette période d’intégration, en maintenant un terrain physiologique et énergétique aussi pur et stable que possible. C’est pendant ces semaines que l’Iboga vous accompagne subtilement dans l’ancrage des transformations, l’émergence de nouveaux choix, et l’installation de nouveaux repères.

🌱 Rappel : si la consommation de ces substances reprend trop tôt, les bénéfices énergétiques et neurologiques de l’Iboga risquent de s’estomper dans le même temps.

7.1 Alcool : une interférence majeure avec l’Iboga
7.2 Caféine et théine : stimulants et excitants à éviter
7.3 Nicotine : réduction fortement recommandée avant la retraite
7.4 ⏳ Temps de sevrage post-cérémonie 👉 intégration optimale
8. Plantes médicinales & compléments alimentaires à éviter

Dans les semaines précédant une retraite à l’Iboga, de nombreuses personnes poursuivent un protocole de santé naturelle : cures de plantes médicinales, toniques adaptogènes, compléments alimentaires, élixirs floraux ou autres préparations holistiques.

 

Si ces pratiques peuvent être bénéfiques dans un autre contexte, certaines d’entre elles peuvent interférer, parfois fortement, avec l’action de l’Iboga. Soit en surchargeant l’organisme, soit en mobilisant des énergies ou des processus internes qui entrent en résonance inadaptée avec le travail spécifique que mène Dr Iboga.

⚠️ Il est donc crucial de comprendre que toute plante médicinale, tout complément ou toute cure à visée physiologique, énergétique ou émotionnelle doit faire l’objet d’un arrêt ou d’un ajustement avant la cérémonie iboga.

Certaines plantes contiennent des composés actifs puissants, qui sollicitent le foie, modulent l’humeur, stimulent les glandes endocrines ou agissent sur le système nerveux. D’autres, même très douces, peuvent altérer le travail vibratoire de l’Iboga, générer des résistances, ou brouiller la perception intérieure.

👉 Cette section vous aidera à :

  • Identifier les plantes et compléments à interrompre avant la retraite

  • Comprendre les raisons de ces interruptions

  • Organiser un arrêt progressif ou total de vos éventuelles cures en cours

➡️ En cas de doute, merci de réserver un appel avec l’équipe HIMA pour un échange confidentiel et respectueux avant votre retraite.

 

                     

8.1 Plantes médicinales stimulantes, neuroactives ou hépatotoxiques

Certaines plantes médicinales, bien que naturelles, agissent puissamment sur les fonctions du système nerveux, du foie, des glandes endocrines ou de la circulation sanguine.

Lorsqu’elles sont présentes dans l’organisme au moment d’une cérémonie à l’Iboga, elles peuvent :

  • surstimuler un organisme déjà sollicité,

  • perturber l’équilibre neurochimique recherché pendant la cérémonie,

  • interférer avec les effets visionnaires ou purgatifs de l’Iboga,

  • ou alourdir inutilement le travail de détoxification hépatique.

Même si vous êtes habitué(e) à ces plantes dans un cadre thérapeutique ou de bien-être, il est important de suspendre leur usage temporairement avant  et durant votre retraite.

🌿 Plantes stimulantes ou neuroactives à interrompre :
Idéalement 2 semaines avant la retraite, et obligatoirement au minimum 3 jours avant le début de la retraite, sans exception.:

  • Ginseng (Panax ginseng)

  • Guarana

  • Noix muscade

  • Rhodiola

  • Maca

  • Millepertuis

  • Eleuthérocoque (ginseng sibérien)

  • Schisandra

  • Syrian rue (Peganum harmala)

  • Mucuna pruriens (contient de la L-Dopa)

  • Griffonia simplicifolia (5-HTP naturel)

  • Bacopa monnieri

  • Gotu Kola (Centella asiatica)

  • Ashwagandha (Withania somnifera)

Ces plantes agissent directement sur l’axe HPA (hypothalamo-hypophyso-surrénalien), le système nerveux central ou les circuits de la dopamine, de la sérotonine ou du cortisol. Leur usage combiné à l’Iboga peut entraîner une surcharge neurochimique ou énergétique.

🧪 Plantes hépatotoxiques ou très drainantes à éviter dans le mois précédent la retraite :

  • Kava (Piper methysticum)

  • Atractylodes

  • Lobelia

  • Scutellaria baicalensis (baical skullcap)

  • Certaines préparations à base d’absinthe ou de sauge officinale à fortes doses

  • Certaines teintures alcooliques très concentrées

Même si elles sont utilisées à visée thérapeutique, ces plantes peuvent fatiguer ou encombrerai le foie, ce qui gênerait considérablement le métabolisme de l’Iboga pendant la cérémonie iboga.

⚠️ Toute cure incluant ces plantes doit être interrompue au minimum 7 à 10 jours avant le début de la retraite, et de préférence 2 à 3 semaines avant, pour permettre à l’organisme de retrouver un état de base stable.

👉 Si vous suivez un protocole phytothérapeutique spécifique ou une cure à base de plantes toniques ou adaptogènes, merci de le mentionner dans le questionnaire de santé.
👉 En cas de doute, merci de réserver un appel avec l’équipe HIMA pour un échange confidentiel et respectueux.

 

                     

 

8.2 Plantes médicinales à effet stimulant ou adaptogène

Certaines plantes, bien que naturelles, ont un impact significatif sur l’équilibre hormonal, nerveux ou énergétique du corps. C’est notamment le cas des plantes dites “adaptogènes” ou “stimulantes”, fréquemment utilisées pour renforcer la vitalité, la concentration, l’endurance, ou la résistance au stress.

Or, ces plantes agissent précisément sur les axes physiologiques que l’Iboga vient réinitialiser ou réharmoniser : le système nerveux autonome, l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien, et les circuits hormonaux liés à l’énergie vitale.

 

En contexte de retraite, elles peuvent créer des déséquilibres, renforcer une stimulation ou masquer temporairement des symptômes que l’Iboga cherche à révéler pour mieux les transmuter.

📌 Sont notamment concernées (liste non exhaustive) :

  • Ashwagandha (Withania somnifera)

  • Rhodiola rosea

  • Maca (Lepidium meyenii)

  • Ginseng (Panax ginseng, Eleutherococcus)

  • Guarana

  • Schisandra

  • Griffonia simplicifolia (précurseur naturel de la sérotonine)

  • Tribulus terrestris

  • Cordyceps

  • Muira Puama

  • Bacopa monnieri

  • Damiana

  • Éleuthérocoque

  • Suma (Pfaffia paniculata)

⚠️ Ces plantes, souvent bénéfiques en période de fatigue ou de stress chronique, peuvent entretenir une forme de sur-adaptation du système nerveux et empêcher la descente profonde dans l’état modifié de conscience induit par l’Iboga. Elles peuvent également interférer avec les processus subtils de réorganisation énergétique menés par la plante.

👉 Il est impératif d’interrompre toute cure ou prise régulière de ces plantes idéalement 2 semaines avant la retraite, et au minimum 3 jours avant l’arrivée sur le lieu de la retraite.

👉 En cas de doute sur une plante ou un mélange que vous utilisez, merci de réserver un appel avec l’équipe HIMA pour un échange confidentiel et respectueux.

📌 Ces cures naturelles pourront être reprises une semaine après la retraite, une fois le processus d’intégration bien entamé et les effets de l’Iboga stabilisés dans le corps et le champ énergétique.

 

                     

8.3 Plantes et compléments ayurvédiques

L’Ayurveda, médecine traditionnelle de l’Inde, propose de nombreux remèdes naturels puissants destinés à renforcer la vitalité, équilibrer les doshas ou accompagner le système nerveux. Bien que leur usage soit généralement bénéfique dans un cadre quotidien, certains de ces remèdes peuvent interférer de manière importante avec le processus d’une retraite à l’Iboga.

 

De nombreuses plantes ayurvédiques sont adaptogènes, toniques ou stimulantes. Elles agissent souvent sur l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien, le système endocrinien ou les neurotransmetteurs, zones d’action également mobilisées intensément par l’Iboga.

D’autres possèdent une charge énergétique propre qui peut se superposer à celle de la plante, créant des interférences ou des résistances subtiles au processus de réinitialisation intérieure.

⚠️ Pour ces raisons, les compléments ayurvédiques, même naturels ou utilisés en prévention, doivent être interrompus avant toute retraite Full Flood ou Stream avec HIMA.

🌿 Plantes et compléments concernés :

  • Ashwagandha (Withania somnifera) : action sur le système nerveux, les hormones du stress et les neurotransmetteurs

  • Shatavari (Asparagus racemosus) : régulateur hormonal féminin, parfois très puissant énergétiquement

  • Brahmi (Bacopa monnieri) : stimulant cognitif et neuroprotecteur, interaction possible avec les effets de l’Iboga

  • Tulsi (basilic sacré) : stimulant subtil du système immunitaire, parfois trop tonifiant pendant les jours de cérémonie

  • Guduchi (Tinospora cordifolia) : modulateur immunitaire

  • Haritaki, Triphala, Amalaki : effets digestifs ou détoxifiants pouvant perturber l’équilibre intestinal pendant la retraite

  • Neem : purgatif naturel, hépatotoxique à haute dose

  • Curcuma (sous forme concentrée) : fluidifiant sanguin, stimulant hépatique

  • Mucuna pruriens : riche en L-Dopa, interfère avec les systèmes dopaminergiques déjà sollicités par l’Iboga

 

⏳ Délai de sevrage recommandé :

  • Idéalement : 2 semaines avant la retraite

  • Obligatoirement : 3 jours avant le début de la retraite

👉 Ces recommandations valent également pour les préparations ayurvédiques composées (ex. : Chyawanprash, Rasayanas, huiles médicinales) et les gélules standardisées achetées en ligne.

🌱 Vous pourrez reprendre vos cures ayurvédiques une semaine après la retraite, une fois le processus d’intégration bien entamé.

 

👉 En cas de doute, merci de réserver un appel avec l’équipe HIMA pour un échange confidentiel et respectueux.

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🌀 Conclusion du document – Directives de santé et de sûreté pour la prise de l’Iboga – HIMA

Le présent document a pour but d’informer en toute transparence les participants aux retraites Iboga organisées par HIMA, en leur offrant un cadre de référence clair, rigoureux et bienveillant sur les exigences de santé, de préparation et de sûreté indispensables pour ce type d’expérience.

Nos retraites s’inscrivent dans une démarche non médicale. Elles ne remplacent en aucun cas un traitement ou un suivi médical, ni une consultation auprès d’un professionnel de santé qualifié. Aucune guérison n’est promise, et aucune pathologie ne peut être prise en charge de manière thérapeutique ou médicale.

Chaque participant s’engage, en s’inscrivant à une retraite HIMA, à :

  • respecter l’ensemble des consignes de santé, de préparation, de sevrage et d’engagement personnel,

  • faire preuve de transparence sur son état de santé passé et actuel,

  • demeurer pleinement responsable de son parcours, de ses choix et de sa capacité à vivre cette expérience.

 

En choisissant de participer à une retraite Iboga avec HIMA, vous acceptez de le faire en toute conscience, à vos propres risques, et reconnaissez que HIMA ne pourra être tenu responsable en cas d’accident, de complication ou de blessure, dans les limites prévues par la législation en vigueur dans les pays où nous organisons nos retraites chamaniques.

Nos retraites sont organisées exclusivement dans des pays où l’usage de l’Iboga est autorisé, dépénalisé ou juridiquement non encadré.

De notre côté, HIMA garantit :

  • un cadre de cérémonie iboga Full Flood et Stream sûr, respectueux et sacré,

  • une évaluation attentive des conditions de participation,

  • un accompagnement rigoureux fondé sur l’écoute, la bienveillance, et l’expérience des équipes HIMA,

  • une vigilance constante pour préserver l’intégrité physique, énergétique et émotionnelle de chacun.

 

👉 Pour toute question, merci de consulter notre FAQ officielle ou de réserver un appel avec l’équipe HIMA pour un échange personnalisé et confidentiel via notre site.

👉 NOTE IMPORTANTE: HIMA ne vend, ne fournit, ni ne distribue l’Iboga ou ses extraits, sous quelque forme que ce soit. L’accompagnement proposé s’inscrit dans un cadre chamanique, fondée sur des protocoles précis et sécurisés.

 

🌱 Chez HIMA, nous veillons à la sécurité de chacun dans un esprit de bienveillance, d’amour, d’accueil et de responsabilité partagée. Toute information confidentielle liée à votre santé sera traitée avec la plus grande discrétion, dans le respect de votre vie privée, et avec bienveillance et intégrité.

                     

📌 Mentions légales et conditions d’usage du document

Ce document a été rédigé par HIMA dans un objectif d'information, de sensibilisation et de prévention.
Il ne constitue en aucun cas un support commercial, ni une invitation à la vente, ni un outil promotionnel.

 

Toute personne ou structure souhaitant réutiliser partiellement ou intégralement ce document, à des fins éducatives ou informatives, est invitée à mentionner clairement sa provenance :
"Source : Directives de santé et de sûreté pour la prise de l’Iboga – HIMA"
ainsi qu’un lien vers notre site : https://www.hima-retreats.com/directives-medicales

📎 Pour toute demande de collaboration ou de diffusion dans un cadre associatif ou thérapeutique, merci de nous contacter directement: himaretreats@gmail.com

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📚 Références & sources

Ce document a été élaboré à partir :

  • de l’expérience directe de terrain des fondateurs de HIMA,

  • de l’observation clinique et énergétique des effets de l’Iboga,

  • de recommandations établies par d’autres centres reconnus dans l’accompagnement chamanique,

  • ainsi que de sources fiables et accessibles sur les interactions médicamenteuses, les états de santé et les contre-indications associées à l’Iboga et ses principaux alcaloïdes (notamment la noribogaïne).

                     

🌱 Sites spécialisés sur l’Iboga et la noribogaïne

                     

🛡️ Guides de centres d’Ayahuasca et pratiques chamaniques (source d'inspiration)

🧬 Littérature scientifique et concepts neurobiologiques & pharmacologie

  • Études sur la noribogaïne et ses effets prolongés sur les récepteurs dopaminergiques, sérotoninergiques et adrénergiques :

    • Mash DC et al. (2001), Noribogaine pharmacodynamics in substance withdrawal and neuroregulation

    • Alper KR, Lotsof HS et al., Ibogaine: Review of its pharmacology and therapeutic potential (Journal of Ethnopharmacology)

  • Manuel MSD professionnel – Syndrome sérotoninergique

👉 https://www.msdmanuals.com/fr/professional/blessures-empoisonnement/troubles-dus-à-la-chaleur/syndrome-sérotoninergique

  • National Institutes of Health – CYP2D6 Metabolism & Drug Interactions

👉 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK547852/

                     

🔮 Connaissance chamanique et énergétique

  • Réflexions issues des expériences directes de Jadhe Diesse et Arjuna Devaya, notamment sur :

    • La conscience des plantes sacrées

    • Les interférences énergétiques causées par certaines substances

    • La logique d’intégration post-cérémonie iboga et les effets vibratoires résiduels

    • Le rôle de Dr Iboga comme "ingénieur quantique" des codes internes

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